Photo : Alain Le Coz aux côtés de Christelle Morançais, Présidente de la Région Pays de la Loire
Actuellement conseiller municipal délégué au Pellerin, Alain Le Coz souhaite mettre son expérience professionnelle dans le secteur des télécommunications et d’élu au service des habitants de la 9e circonscription.
Vous briguez un premier mandat dans la 9e circonscription, quelle est selon-vous la qualité première de votre candidature ?
Je suis un jeune élu, depuis 2 ans et 1/2, au sein du conseil municipal de la Ville du Pellerin. Je viens de la société civile et j’avais envie de m’engager car je travaille dans le monde des collectivités depuis plus de 20 ans, plus précisément depuis 8 ans en Vendée. J’ai côtoyé tous les élus vendéens que ce soient les sénateurs, les députés, les présidents, les maires, leur engagement au quotidien m’a donné envie de faire pareil. D’abord au Pellerin où j’ai une délégation en charge des transports, du tourisme, de la vie économique et du numérique. Ensuite, après les municipales, en rejoignant la liste de Christelle Morançais aux dernières élections régionales, j’étais en position non éligible puisque j’étais 30ème sur une liste de 35 colistiers.
Claire Hugues qui s’était présentée en 2017 ne souhaitait pas repartir car elle est engagée auprès de la région avec son mandat de vice-présidente. J’ai eu une investiture LR/UDI pour représenter ce centre/droit aux élections du Pays de Retz.
Quel est votre projet pour les habitants de la 9e circonscription ?
Ça fait un mois que je sillonne le Pays de Retz pour rencontrer les maires afin d’avoir leurs ressentis sur chaque commune et les enjeux, je m’en suis inspiré pour faire ma profession de foi. Moins taxer le pouvoir d’achat par rapport à l’essence, revaloriser les petites retraites et assurer une garantie au niveau du smic.
La santé, parce qu’aujourd’hui on a des déserts médicaux sur le Pays de Retz, les élus constatent hélas le départ de médecins qui ne trouvent pas de remplaçants. Certains réussissent à ouvrir des maisons de santé mais ils ont eu du mal à recruter, il faut que l’on travaille plus en concertation avec les professionnels de la santé. Il faut sauver l’hôpital parce que c’est la crise des services d’urgence qui ferment par faute de personnel, un plan d’action est à mener pour que l’on puisse recruter suffisamment de médecins, des aides-soignants, des infirmières, peut-être revaloriser les salaires et donner envie à nos jeunes d’aller vers ces métiers.
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