Prévu sur l’ancien site ferroviaire à l’ouest de l’île de Nantes, l’écocentre est contesté par des riverains et les élus du groupe « Mieux vivre à Nantes ».
Le projet d’écocentre sur l’île de Nantes créé le débat. Nantes Métropole et la SAMOA ont annoncé sa création sur l’ancien site ferroviaire, sur une surface de 2,8 hectares. La plateforme traitera les déblais issus des chantiers réalisés à proximité, notamment le futur CHU de Nantes. L’objectif est de recycler 85 % des terres et déblais. L’écocentre qui sera installé d’automne 2023 jusqu’en 2035 est contesté par un collectif d’habitants « Stop à l’écocentre de l’île de Nantes. »
« Derrière cette appellation bucolique se cache en réalité une déchetterie industrielle sous les balcons des habitants » martèle « Mieux vivre à Nantes », groupe des élus de droite. « Nantes Métropole aurait pu, aurait dû utiliser la Loire située à proximité pour évacuer ces terres polluées et envoyer les faire traiter sur les plateformes existantes sous le pont de Cheviré » avance comme solution Julien Bainvel, du groupe « Mieux vivre à Nantes », conseiller de Nantes Métropole.
