Perturbateurs endocriniens « A défaut de pouvoir agir sur la racine, on agit sur le préventif » 

Le 3 juin dernier, le département a signé la charte « Ville et territoires sans perturbateurs endocriniens » du Réseau Environnement Santé (RES). Mais que contient cette charte ? Quelle est la feuille de route du département sur cet enjeu de santé publique ? Réponse avec Chloé Girardot-Moitié, Conseillère départementale du Canton de Nantes 7, Vice- Présidente Ressources, milieux naturels, biodiversité et action foncière.

Vous venez de signer la charte « Ville et territoires sans perturbateurs endocriniens » ce lundi 3 juin, que va-t-elle apporter concrètement aux habitants et habitantes du département ?

Cette charte vise à protéger la santé des habitants par rapport à leur exposition aux perturbateurs endocriniens. Ce sont des substances naturelles ou de synthèse qui vont perturber le fonctionnement des hormones. elles peuvent avoir des effets néfastes comme des troubles de la fertilité, des troubles neurologiques, être liées à différents types de cancers, des maladies chroniques comme le diabète. On sait qu’elles sont omniprésentes dans la vie courante, dans les aliments, les vêtements. Dans ces perturbateurs

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